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La mise en place d'une revalorisation salariale dans le secteur de la Petite Enfance

Déployée dans un contexte où le secteur peine à recruter suffisamment de professionnels qualifiés, l'initiative dévoilée le 5 mars 2024 par Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, et Sarah El Haïry, ministre déléguée chargée de l'enfance, de la jeunesse et des familles, vise à revaloriser le salaire de 150 000 personnels de la Petite Enfance.


Un jeu pour enfant

Les défis du secteur de la Petite Enfance


Pénurie de professionnels qualifiés


La pénurie persistante de professionnels qualifiés constitue l'un des défis les plus pressants. Selon les données gouvernementales, près de la moitié des crèches rencontrent des difficultés à pourvoir leurs postes, compromettant ainsi la qualité des services offerts aux tout-petits. Cette situation nécessite des solutions rapides et ciblées pour attirer et retenir des talents qualifiés, garantissant ainsi un environnement propice au développement optimal des enfants.


Attractivité des métiers de la Petite Enfance


L'attractivité des métiers de la petite enfance demeure un défi crucial. La reconnaissance totale de l'importance de la contribution des professionnels de la petite enfance à la société est essentielle pour stimuler le recrutement de nouveaux talents et encourager la fidélisation des professionnels existants. Cela contribuera à créer un environnement professionnel épanouissant, propice à la prestation de services de qualité et au bien-être des tout-petits.


Une jeune femme travaillant dans le secteur de la petite enfance

Une revalorisation salariale pour les métiers de la Petite Enfance


Contexte de la décision gouvernementale


Le 5 mars 2024, Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, accompagnée de Sarah El Haïry, ministre déléguée chargée de l'enfance, de la jeunesse et des familles, a dévoilé une initiative visant à revaloriser les salaires des salariés exerçant au sein des établissements financés par la prestation de service unique (Psu), soulignant l'importance accordée à ces métiers souvent sous-estimés.


Différenciation entre crèches privées et publiques


Les salariés des crèches privées bénéficieront d'une hausse de 150 euros nets par mois, et de 100 euros nets mensuels pour les salariés exerçant au sein des crèches publiques. Cette différenciation tient compte des réalités financières spécifiques à chaque catégorie d'établissement.


Une assistante maternelle

Mise en œuvre des mesures de revalorisation


Objectifs à long terme


La démarche gouvernementale ne se limite pas à une simple augmentation salariale, mais s'inscrit dans une perspective à long terme. Les objectifs englobent la création de 200 000 nouvelles solutions d'accueil d'ici à 2030, soulignant ainsi la nécessité de répondre à la demande croissante tout en assurant un accès adéquat aux services de qualité.


Création de nouvelles solutions


La création de nouvelles solutions d'accueil représente une réponse essentielle aux besoins croissants de la société. Cela implique également des parcours de formation individualisés, visant à renforcer les compétences des professionnels de la petite enfance. Ces initiatives sont cruciales pour accroître l'attrait des métiers du secteur et garantir un niveau élevé de service.


Assofac vous accompagne


Si vous souhaitez intégrer le secteur de la petite enfance, Assofac vous accompagne et vous propose une formation préparant au CAP AEPE (Certificat d’Aptitude Professionnelle - Accompagnant Éducatif Petite Enfance). Que vous soyez demandeur d'emploi ou en reconversion, cette opportunité s'adresse à tous, sans condition d'âge, ni de diplôme. Assofac garantit l'accompagnement pédagogique personnalisé tout au long de la formation ainsi que l'accès à de nombreuses opportunités professionnelles. Que ce soit en tant qu'aide-éducateur, auxiliaire de puériculture ou agent de crèche, la formation ouvre les portes vers une variété de métiers au sein du secteur de la Petite Enfance.

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